Le Jeune Acteur 1: Une histoire qui mélange Passion et Découverte

Si vous aimez les BD et le monde du cinéma, alors la BD « Le Jeune Acteur 1 » écrite par Riad Sattouf est faite pour vous!

Cette BD raconte l’histoire de la rencontre du passionné et réalisateur de cinéma Riad Sattouf avec le jeune Vincent Lacoste en perpétuelle quête de popularité ( aussi pour plus de succès avec les filles ). Cette rencontre se fait car Riad cherche des acteurs pour son prochain film intitulé « Les beaux gosses » et Vincent décide de passer le casting. Il est finalement choisi pour incarner le rôle principal , c’est ainsi que l’aventure commence.

Tout au long de la BD on voit Vincent, un adolescent de 14 ans, découvrir le monde du cinéma de l’intérieur. Le film sort dans les salles et rencontre un franc succès. Vincent, devenu populaire, est approché, par différents réalisateurs ce qui laisse à penser qu’il va débuter une carrière d’acteur de cinéma.

Riad Sattouf, né en 1978 à Paris d’un père Syrien et d’une mère Française, est un auteur de bande dessinée et un réalisateur depuis les années 2000. Il obtient différentes récompenses pour son travail: le César du meilleur premier film pour Les Beaux Gosses en 2010 (le film de la BD Le Jeune Acteur) , double lauréat du fauve d’or pour le 3e tome de « Pascal Brutal » en 2010 et le 1er tome de « L’Arabe du futur » en 2015.

Le Jeune Acteur volume 1 est une BD qui raconte autant l’histoire du réalisateur Riad Satouff que celle de l’acteur Vincent Lacoste. Dans ce récit, nous sont présentés les relations (amicales) entretenues au collège, la vie de famille ou encore les pensées intimes de Vincent Lacoste.

  1. Simplicité de compréhension : L’utilisation des couleurs pour représenter différentes émotions est un choix astucieux qui facilite la compréhension de l’histoire. Les lecteurs peuvent rapidement associer les teintes à des états d’esprit ou des situations spécifiques, ce qui rend la narration plus fluide et accessible. Cette approche visuelle aide également à transmettre des émotions sans avoir besoin de recourir à un texte explicatif lourd.
  2. Richesse émotionnelle : En plus de simplifier la compréhension, l’utilisation des couleurs contribue à enrichir l’expérience de lecture. Les nuances et les variations dans les tons chauds ou froids peuvent évoquer une gamme étendue de sentiments, allant de la joie à la tristesse en passant par l’anxiété ou l’excitation. Cette palette de couleurs employée dans le récit permet aux lecteurs de se sentir plus investi et plus proche des personnages.
  3. Humour et comédie : Les passages comiques de la BD, en particulier ceux mettant en scène la vie de Vincent et ses interactions avec ses amis, ajoutent une touche de légèreté et rendent l’histoire amusante. L’utilisation de phrases familières, parfois vulgaires ou absurdes, crée un contraste humoristique avec le sérieux du monde du cinéma. Cette combinaison de comédie et de réalisme rend les personnages plus authentiques et permet aux lecteurs de s’identifier à eux.
  4. Richesse des personnages : En explorant la vie de Vincent et celle de Riad Sattouf, la BD offre une variété de personnages auxquels les lecteurs peuvent s’identifier. Leurs pensées, leurs motivations et leurs interactions sont présentées de manière authentique, ce qui rend les personnages plus complexes et intéressants. Cette profondeur contribue à rendre l’histoire plus immersive et captivante.

Pour finir « Le Jeune Acteur 1 » est une BD qui excelle dans le fait de mélanger passion et découverte du monde du cinéma, de part : sa simplicité de compréhension, sa richesse émotionnelle, son humour et ses personnages .

Filipe, 603

Source pour la présentation de Riad Sattouf : https://www.bedetheque.com/galerie-auteur-10964-BD-Sattouf-Riad.html et https://actualitte.com/article/109771/auteurs/remontes-a-la-surface-des-dessins-de-riad-sattouf-mis-en-cause#:~:text=Superstar%20du%20monde%20de%20la,du%20futur%20en%202015…

« Ni Web Ni Master »

D’après vous , à quoi ressemblerait un monde où la technologie serait omniprésente… mais ne pensez vous pas que c’est déjà le cas ?

Si vous voulez connaître la réponse…

Si oui, dans ce cas l’univers décalé de « Ni Web Ni Master » de David Snug, va vous permettre de plongez au cœur d’une satire sociale, réalisée autour des nouvelles technologies et de notre tendance à la surconsommation, une BD pleine d’humour et de bon sens. Elle nous invite à repenser notre rapport à la technologie dans une société hyperconnectée.

Extrait de la BD « Ni Web ni MAster » David Snug
Article de Benoit Richard dans le BENZINE

L’histoire met en scène David Snug du passé (1989), un adolescent, qui voyage dans le temps et arrive dans le monde actuel. Dans le futur, il rencontre son « alter-égo » adulte qui vit dans un monde totalement inconnu pour le jeune Snug. A travers différentes péripéties, l’adolescent découvre petit à petit notre mode de vie actuel, en passant de l’état d’admiration de ce monde innovant et révolutionné par les nouvelles technologies )avec les livreurs Uber Eats, les réseaux sociaux et cetera), à un mépris total de cette société et une nostalgie du passé où la vie était plus simple.

David Snug, de son vrai nom Guillaume Cardin, est un auteur, graphiste et musicien né en 1975. Après un DEUG d’art plastique et une licence de cinéma, il abandonne les études mais se retrouve à travailler à la chaine en usine. Après quelques années, il décide de commencer à vivre pour le rêve qu’il avait étant enfant: faire de la bande dessinée. Dans ses BD, on retrouve une dimension autobiographique. Il traite aussi de différents thèmes sociaux actuels comme par exemple dans « Ni web Ni master » , où l’on parle de l’addiction aux nouvelles technologies. Par ailleurs, le titre « Ni web ni Master » parodie le fameux dicton anarchiste « Ni dieu Ni maître » pour mettre en avant à quel point nous sommes contrôlés aujourd’hui par les géants du WEB (GAFAM). Il aborde aussi dans ses BD d’autres thèmes tels que le monde du travail, les grêves, etc.

Je recommande fortement la lecture de cette œuvre car premièrement le genre BD est très simple et plaisant à lire. Le niveau de langue assez familier qu’utilise l’auteur et le contexte dans lequel se déroule l’histoire (facebook avec Mark Zukerberg, Elon Musk, Deliveroo) nous permet de mieux nous fondre dans l’intrigue. De plus, la réalisation graphique est très agréable visuellement. Les dessins proposés en arrières-plan sont très intéressants et donnent envie de ne rater aucun détails. De plus, le genre satirique amplifie la dimension comique de l’œuvre ce qui rend la lecture d’autant plus amusante en plus d’être intéressante.

Cependant, lce qui m’a déplu est le fait que l’auteur a tendance a diaboliser l’utilisation des nouvelles technologies alors qu’en réalité elles ont aussi une importance primordiale dans nos modes de vie. Elles sont, par exemple, très utiles dans le monde médical ou encore pour communiquer avec des proches. Bien évidemment, il faut savoir nuancer et trouver le juste milieu.

Ainsi, je conseillerais fortement la lecture de « Ni Web Ni Master » qui est à la fois instructive, humouristique et facile à lire. Elle s’adresse selon moi à tout type de lecteur.

IHAB, 603

Comment « Ni Web Ni Master » reflète-t-il notre société actuelle et ses relations avec la technologie ?

David Snug

Nationalité : Français
Né(e) : 1975

David Snug, de son vrai nom Guillaume Cardin, est un jeune auteur, graphiste et musicien (ultra under-ground).Il joue de la guitalélé, de la guitare et de la batterie dans plusieurs groupes (Top montagne, Snugtrio, Quetzalli). Après un DEUG d’arts plastiques et une licence de cinéma, il abandonne les études et part travailler à la chaine en usine. Il est l’auteur de nombreuses bandes dessinées dont notamment: « Je suis très déçue par ton attitude« , « J’aime pas la musique« , « Les rois de la récré » ou encore « La vie est trop Kurt« , « Je n’ai pas de projet professionnel ». Il travaille en banlieue et vit à Paris.

Il écrit Ni Web Ni Master en 2022 que je vais présenter .

Fraichement débarqué des années 1980. Un gamin découvre comment Internet et les nouvelles technologies ont envahi nos vies et modifier nos rapport au monde.

Cet adolescent qui a voyagé dans le temps rencontre son alter ego adulte, David Snug lui-même. Au cours de l’histoire, le jeune homme va vouloir rentrer chez lui mais n’a pas retrouvé sa machine à remonter dans le temps. De ce fait, il reste dans le futur avec son alter ego. Il va de plus en plus en apprendre sur ce monde moderne dans lequel les nouvelles technologies jouent un rôle fondamental.. Par exemple, le code pour rentrer chez soi, les smartphones, Internet et le Web , ou encore les applications de livraison de repas à domicile. L’alter ego de David Snug va expliquer au jeune David Snug, ce que le monde est devenu au cours de l’histoire .

Tout d’abord, ce qui m’a fait aimer cette oeuvre, c’est l’humour que David Snug utilise pour dénoncer ou défendre les causes qui lui sont chères. Par exemple, on peut voir qu’il joue, d’un point de vue graphique, sur la conception des arrière-plans qui sont continuellement remplis de détails. Ces décors sont même parfois plus drôles que l’action qui est en train de se derouler dans le récit. La narration adoptée par Snug permet de distinguer le récit et les explications sur le monde numérique, par exemple lorsqu’il nous raconte l’histoire d’Abakar à travers les yeux d’un internautre regardant une vidéo sur un écran de smartphone. Je trouve cela très original. L’auteur représente bien dans ce récit le monde d’aujourd’hui et l’impact de la technologie sur nos vies et la société. Il nous montre aussi les difficultés que rencontrent les populations vivants dans d’autres pays. Il prend l’exemple de la Chine, pays dans lequel sont fabriqués nos smartphones et évoque leurs conditions de travail ou encore des enfants africains travaillant dans les mines.

Cette BD nous sensibilise sur plusieurs thèmes, autre que la technologie. Pour moi, cette bd est très intéressante et instructive. Originale et drôle à lire, même si les thèmes abordés sont sérieux , David Song arrive à nous sensibiliser en utilisant l’humour, la satire et je trouve cette manière de faire originale, et c’est pour cela que je la recommanderais.

La 4éme de couverture
Ni web ni master de David Snug

J’ai choisi cette image et je vais la présenter et expliquer car elle m’a tapé a l’œil!

La quatrième de couverture de « Ni Web Ni Master » présente une scène où les deux versions de David Snug (adolescent et adulte) sont assises sur un banc et lisent des livres différents. Le David Snug jeune lit « Les followers du mal », tandis que le David Snug adulte lit « Extension du domaine de la lutte ».

Cela semble mettre en exergue deux références littéraires représentatives des différences de perspective entre les deux David Snug: deux générations différentes et deux perceptions contrastées du monde moderne, en particulier en ce qui concerne la technologie et le fonctionnement de notre société. Pour moi, ceci évoque une critique ou une exploration de la nature sombre ou négative des interactions en ligne, notamment sur les réseaux sociaux. Cela pourrait évoquer aussi une réflexion sur la manière dont les comportements en ligne peuvent parfois engendrer des attitudes toxiques ou malveillantes. Dans ce contexte, la lecture « Des followers du mal » par le David Snug jeune pourrait symboliser sa découverte des aspects négatifs ou obscurs d’internet et des médias sociaux, alors que le David Snug adulte, qui lit « Extension du nom du domaine de la lutte« , pourrait évoquer une compréhension plus profonde ou une réflexion sur ces problèmes à mesure que le personnage mûrit et prend du recul par rapport à ces phénomènes. Ainsi, cette interprétation renforcerait le contraste entre les perspectives des deux David Snug et soulignerait la complexité des interactions humaines dans le contexte de la technologie moderne. Cest pour cette raison qu’il m’a paru pertinent de partager et de tenter d’expliquer cette illustration.

ILYAS, 603

image source : bedetheque.com / Babelio.com (biographie )

 » Le cœur battant de nos mères  » de Brit Bennett

Explorez l’émotion palpitante et intemporelle de la vie d’une jeune adolescente, une histoire captivante qui résonne au rythme puissant de l’amour maternelle !

Plongez dans cette histoire émouvante écrite par Brit Bennett « Le cœur battant de nos mères« , une saga envoûtante où l’amour, la résilience, les liens familiaux se tissent dans les tourbillons du passé, révélant des secrets enfouis et des destins entrelacés qui transcendent le temps pour former un récit plein d’émotions et captivant.

Brit Bennett est une écrivaine américaine née en 1989. Elle a grandit à Oceanside en Californie, et a étudié à Stanford University ainsi qu’à l’Université du Michigan. Elle explore dans ses romans des thèmes tels que la race, l’identité, la famille, et les relations intergénérationnelles.

Dans ce roman d’apprentissage, elle nous parle d’une jeune adolescente qui se nomme Nadia, âgée de 17ans, vivant au sein d’une communauté noire et chrétienne. A 17 ans, Nadia décide d’avorter pour pouvoir poursuivre ses études, et ce sans supposer à quel point cet événement va impacter sa vie future ainsi que celle de son ex petit ami, Luke, le fils du pasteur et celle de sa meilleure amie, nommée Aubrey.

J’ai beaucoup apprécié ce livre. C’est une histoire fascinante qui met en exergue et analyse les relations familiales complexes ainsi que les conséquences de ses choix sur plusieurs générations. J’ai apprécié comment l’auteure raconte de façon habile une histoire pleine d’émotions, mettant en avant l’amour, la maternité et la recherche d’identité. Son analyse sur les personnages font de ce livre une lecture à la fois puissante mais aussi émouvante.

Rokhaya, 603

Critique Ni web Ni master (Cedric 603)

« Ni Web ni Master » est une BD écrite par David Snug, de son vrai nom Guillaume Cardin.

Snug est un auteur de bande dessinée et un musicien français né en 1975 à Bayeux. Après avoir passé un BAC Arts appliqués, il s’oriente vers un DEUG Arts plastiques avant de finalement s’inscrire en Licence de cinéma. Il finit par arrêter ses études pour entrer dans la vie active et se consacrer à des activités artistiques. Il a écrit de nombreuses BD telles que « Je suis très déçue par ton attitude » sortie en 2008, « Ya que les fourmis qui bossent » sortie en 2020 et « Ni Web ni Master » sorti en 2022

Ni web ni Master est une Bande Dessinée qui nous parle d’un jeune adolescent qui, avec une machine à voyager dans le temps, part explorer le futur. Il se retrouve en 2022 dans un monde (qui ressemble étrangement au nôtre) avec son « alter égo » du futur. A ses côtés, il découvre le monde actuel, ce qu’est internet et le rôle que jouent nos les smartphones dans nos vies. Ces appareils sont devenus omniprésents et ont semble-t-il bouleversés nos vies. Dans cette société présentée par David Snug, les êtres humains sont devenus esclaves de leurs téléphones et des applications qu’il contient. Cela entraine de nombreux problèmes.

J’ai bien aimé ce livre car il dénonce l’hypocrisie de l’homme moderne hyperconnecté, qui ayant totalement conscience des méfaits liés à l’usage des nouvelles technologies, continue à les utiliser et à faire comme si de rien n’était.

Cette BD nous sensibilise et nous alerte sur notre dépendance aux smartphones, sur l’exploitation de nos données en ligne, le non respect de notre vie privée, sur les dysfonctionnements liés à l’usage des applications de commerce en ligne.

Nous pouvons également remarquer que tout au long de l’histoire, à force d »être « scotchés » en permanence à leurs smartphones, les membres de cette société ont arrêté de prendre soin de la terre et de leur environnement. On peut, par exemple, apercevoir des déchets un peu partout, des immeubles et des murs délabrés, comme si le monde virtuel avait pris le pas sur la réalité.

Par contre, j’ai moins apprécié le style graphique de Snug et j’ai aussi trouvé qu’il portait un regard un peu trop pessimiste sur les nouvelles technologies.

Cédric, 603

Le Jeune Acteur : un Regard humoristique et réaliste sur les défis pendant l’Adolescence

Le Jeune Acteur de Riad Sattouf est une bande dessinée qui nous plonge dans une histoire captivante rendant compte des défis de l’adolescence avec son lot de rires,de larmes et des réflexions profondes.

L’histoire est centrée sur le personnage de Vincent Lacoste, un adolescent timide et complexé qui n’aurait jamais imaginé être acteur. Riad Satouff dit à propos de Vincent dans une interview réalisée sur Radio France : « Vincent Lacoste n’a jamais cherché à être acteur. Je me sentais responsable de lui, un peu coupable ».

À travers ses aventures, ses interactions avec ses camarades de classe, sa famille et ses amis, nous découvrons les défis que traverse cet adolescent.

Le style graphique de Riad Satouff est caractérisé par sa simplicité et sa clarté. Ses dessins sont expressifs et détaillés pour renforcer l’immersion du lecteur dans l’univers de Vincent.

Ce qui marque le plus dans « Le Jeune Acteur« , c’est la capacité de l’auteur à aborder des thèmes universels de manière authentique et accessible tels que l’amitié, l’adolescence, la famille.

Avec son style d’écriture, Riad Satouff parvient à capter les moments de joie, de peur, de doute et de confusion propres à l’adolescence, et à les rendre concrets pour le lecteur, à nous les faire vivre. On se retrouve ainsi plongé dans les questionnements et les émotions du personnage principal, et on ne peut s’empêcher de s’y identifier.

Le rôle très paternel et protecteur de Riad Satouff envers Vincent qu’il prend sous son aile est aussi intéressant, j’ai bien aimé la relation qu’entretiennent les deux personnages.

Pour conclure, cette oeuvre est touchante et drôle. Elle réussit à capturer l’essence de l’adolescence avec humour et justesse. Riad Sattouf nous offre un portrait authentique d’un adolescent qui traverse de nombreux défis et passe par de nombreux questionnements, étant en quête d’identité.

Zach, 603

Un jeune acteur ? oui mais qui ?

Si tu kiffes les BD et le monde du cinéma, alors « Le Jeune Acteur » de Riad Sattouf est le combo parfait pour toi !

Affiche du Film « Les Beaux Gosse » Riad Satouff

Riad Sattouf, célèbre pour ses talents de dessinateur et de scénariste, nous offre ici l’histoire authentique d’un adolescent ordinaire devenu l’un des talents les plus remarquables de sa génération ! En 2008, Riad Sattouf réalise son tout premier film, ‘Les Beaux Gosses’, et sélectionne Vincent Lacoste, un jeune timide et introverti, pour incarner le rôle principal. À seulement 14 ans, ce collégien se retrouve propulsé dans l’univers fascinant et mystérieux du cinéma, une aventure aussi surprenante que captivante !

Tu trouveras certaines scènes hilarantes où il se retrouve embarqué dans cette formidable aventure, mais tu éprouveras aussi de l’empathie pour ses luttes et ses moments de difficulté. Ce qui rend cette BD vraiment spéciale, c’est le fait de voir à quel point les personnages reflètent la vraie vie. Leurs histoires et leurs interactions sont si authentiques qu’on pourrait presque croire qu’ils sont réels.

En suivant les aventures de ce jeune acteur, tu découvriras également les coulisses fascinantes du monde du cinéma. Les auditions, les tournages, les succès et les échecs sont présentés de manière si vivante que tu auras l’impression d’y être toi-même. De plus, le style graphique de Sattouf est tout simplement époustouflant. Ses dessins sont pleins de détails et tr-s expressifs ce qui ajoutent une profondeur supplémentaire à l’histoire. Chaque page est un véritable régal visuel.

J’ai beaucoup apprécié « Le Jeune Acteur », une œuvre qui m’a captivé dès les premières pages. Son récit drôle et touchant, ses personnages attachants et son exploration du monde du cinéma en font une lecture agréable et enrichissante.
Ainsi, je recommande vivement cette BD à tous les lecteurs, quel que soit leur âge ou leurs préférences de genre, car elle mérite d’être lue. »

Sources:

https://www.francetvpro.fr/sites/default/files/styles/crop_format_bandeau/public/images/2017/06/27/LESBEAUXGOSSES_preview.jpg?itok=9D13f-mQ

ABDALELAH, 603

Billet d’humeur – L’Archipel des lärmes

L’archipel des larmes est un livre que je conseille aux personnes motivées pour lire de longs ouvrages.

C’est un roman suédois qui donne à réfléchir sur la condition des femmes, notamment en ce qui concerne leur insertion dans le monde du travail.

J’ai beaucoup aimé cette œuvre car c’est un polar qui présente des points de vue différents et intéressants.

L’incipit était assez difficile et le roman est long à lire, mais au fur et à mesure de ma lecture, j’ai directement « accroché » à l’histoire.

Heureusement, il y a beaucoup de suspense, ce qui nous donne envie d’en savoir plus, notamment vers la fin où l’on nous révèle l’identité du meurtrier.

Tiana, 603

La fabuleuse histoire de romain (à la manière de La petite dernière)

Je m’appelle Romain et je suis perfectionniste, exigeant. J’aime lire, plus besoin d’écouter, d’être attentif ; il y a seulement le livre et moi. Cet objet me permet de dormir, c’est agréable de s’endormir en lisant. Je me demande ce que ça fait d’écrire un livre, l’accomplissement que ça doit être. Carry signifie porter, supporter, peut signifier s’accrocher, continuer sauf que je n’ai plus envie : s’accrocher, avancer, dans quel but au final. Calle, la rue en espagnol : là où les gens parlent, s’amusent et plaisent. Je n’éprouve plus d’intérêt pour beaucoup de choses que ce soit les chaussures, les arbres aussi beaux qu’ils soient. Mais j’aime toujours jouer, gagner sur le terrain. Pomodoro, tomate en italien : j’apprends l’italien je ne sais pour quelles raisons, un besoin de plaire, de me rassurer peut-être.

Léo, 601

Je m’appelle Pierre (à la manière de Fatima Daas)

Je m’appelle Pierre et j’aime manger des gâteaux

Je m’appelle Pierre et je n’écrit qu’avec de petits stylos.

Je m’appelle Pierre et comme je suis maladroit, je ne fais que tomber

Je m’appelle Pierre , ma mère est espagnol et elle me dit tous les jours « recoge tu habitacion  » ce qui signifie « range ta chambre » .

Je m’appelle Pierre et, hier, ,je me suis coupé le doigt avec des tranchants que j’avais dans ma trousse

Je m’appelle Pierre et ma matière préférée est l’anglais

Je m’appelle Pierre et je préfère m’amuser qu’étudier

Je m’appelle Pierre et ma famille me surnomme « el enano » ( le nain) à cause de ma petite taille.

Amadou, 601